Comme citoyen Origine
Mon moi:
Je suis natif de St-Gabriel de Brandon.
St-Gabriel de Brandon est une localité ayant une partie qui est le village (ville), et l’autre partie, tout autour de la ville, c’est la municipalité paroisse St-Gabriel de Brandon.
Ce sont donc, deux municipalités distinctes.
Il y avait comme deux clans, la ville St-Gabriel et la paroisse portant nom St-Gabriel de Brandon.
Vers le début de la vingtaine, je suis devenu boucher, coupeur de viande.
En 1974, et il me fut proposé d’acheter une petite épicerie dans le village. Ça m’intéressait, car il y avait un département pour la viande.
Le propriétaire de l’immeuble avait été un policier dans la ville.
Il avait perdu son poste, car il semblait avoir de la protection entre certains employés de l’administration du corps policier.
Puisque il aimait être au courant des affaires municipales, il assistait à chaque séance mensuelle du conseil municipal de la ville (village), les lundis.
Il était retraité et demeurait en haut de mon commerce. Le lendemain de l’assemblée du conseil municipal, le mardi, en avant-midi, il venait lire le journal dans mon commerce, et jaser avec ses amis, mes clients, car c’étaient des gens du voisinage, ses anciens clients, car il avait géré ce commerce durant plusieurs années.
Il me dit … tu devrais y aller au conseil voir ce qui se passe, vu que j’avais de la jasette.
Je veux réussir, en arriver à créer des emplois, ce projet me tient à cœur.
Comme citoyen:
J’ai commencé à y aller, même qu’après 3 ou 4 assistances, j’ai commencé à poser de mes questions et des questions que certains clients me suggéraient, pour éclaircir certains sujets.
Mon commerce était dans la ville St-Gabriel, mais j'habitais dans la paroisse St-Gabriel de Brandon.
J’assistais aux séances du conseil de la ville, j’avais mon dépanneur dans la ville, et j’assistais aussi aux assemblées du conseil municipal de la paroisse, une fois habitué à ces assemblées, puisque j’habitais dans la paroisse.
Un type qui était très connu pour une vie sociale à St-Gabriel, Monsieur Gérald Tellier, rédigeait les actualités de la place pour le journal de la région. Il était alors le correspondant local pour le média Joliette Journal. Il écrivait les nouvelles des deux conseils municipaux, la ville et la paroisse. Il publiait aussi les activités des associations, les décès, les naissances et autres.
Dans le temps, il travaillait à St-Gabriel, mais il lui fut offert un poste de travail à Joliette.
N’étant plus dans la place, ou n’ayant pas assez de temps pour assister aux assemblées, à cause du déplacement, il proposa à la direction du Joliette Journal que ce soit moi, Robert Grandchamp, qui le remplace comme correspondant de la place, vu que j’assistais déjà régulièrement aux assemblées des deux conseils municipaux.
Devenu le correspondant local:
Un journaliste du Joliette Journal est venu me rencontrer, m’explique quoi faire, et j’ai commencé comme ça.
Tout écrit à la dactylo, et je devais aller les porter à Joliette, 35 km de chez moi, avant le mardi matin 10 :00 heure.
J’avais mon épicerie, un dépanneur à plutôt dire.
Les organisateurs des activités m’apportaient au dépanneur les communiqués, les informations des événements organisés, à faire connaître, pour avoir plus d’assistance.
En venant porter, ces informations, ces organisateurs devenaient familiers avec mon commerce, devenaient donc des clients.
Puisque je leur rendais le service de parler d’eux dans mes rédactions, en publiant gratuitement leurs activités, j’avais des retombés de leur présence, et de leurs activités.
Même j’ai commencé à leur faire un prix pour leur fournir certains produits (bière, croustille, liqueur). Ça faisait marcher mon dépanneur par le fait même, et je me faisais connaître de mois en mois.
J’ai été correspondant pour le journal, environ 30 … 35 mois. Et j’ai laissé le poste à une madame qui avait beaucoup plus de temps que moi.
J’ai toujours été adepte de publier les activités quand j’étais dans une association, ou que j’assistais aux activités des autres associations.
J’étais toujours nommé le publiciste, de chacune des associations que j’étais membre.
Suggéré par A. N du journal de la région:
Plusieurs années plus tard … lorsque l'internet a été rendu dans la région, j’ai proposé à la direction du Joliette Journal de mettre sur le en ligne toutes les activités de toutes les localités de la région Lanaudière. On m’a répondu qu’il manquait d’espace pour toutes les publier dans le journal et que l’internet n’était pas pour eux, leur gros revenu de publicité.
Un dirigeant du journal local m’a proposé d’en faire un moi-même, car il trouvait mon idée fameuse.
J’étais devenu camionneur, donc pas le temps de faire cela.
Comment G eu idée
L'idée m'est venue suite
Mon moi: Je suis natif de St-Gabriel de Brandon. St-Gabriel de Brandon est une localité ayant une partie qui est le village (ville), et l’autre partie, tout autour de la ville, c’est la municipalité paroisse St-Gabriel de Brandon. Ce sont donc, deux municipalités distinctes. Il y avait comme deux clans, la ville St-Gabriel et la paroisse portant nom St-Gabriel de Brandon. Vers le début de la vingtaine, je suis devenu boucher, coupeur de viande. En 1974, et il me fut proposé d’acheter une petite épicerie dans le village. Ça m’intéressait, car il y avait un département pour la viande. Le propriétaire de l’immeuble avait été un policier dans la ville. Il avait perdu son poste, car il semblait avoir de la protection entre certains employés de l’administration du corps policier. Puisque il aimait être au courant des affaires municipales, il assistait à chaque séance mensuelle du conseil municipal de la ville (village), les lundis. Il était retraité et demeurait en haut de mon commerce. Le lendemain de l’assemblée du conseil municipal, le mardi, en avant-midi, il venait lire le journal dans mon commerce, et jaser avec ses amis, mes clients, car c’étaient des gens du voisinage, ses anciens clients, car il avait géré ce commerce durant plusieurs années. Il me dit … tu devrais y aller au conseil voir ce qui se passe, vu que j’avais de la jasette. Comme citoyen: J’ai commencé à y aller, même qu’après 3 ou 4 assistances, j’ai commencé à poser de mes questions et des questions que certains clients me suggéraient, pour éclaircir certains sujets. Mon commerce était dans la ville St-Gabriel, mais j'habitais dans la paroisse St-Gabriel de Brandon. J’assistais aux séances du conseil de la ville, j’avais mon dépanneur dans la ville, et j’assistais aussi aux assemblées du conseil municipal de la paroisse, une fois habitué à ces assemblées, puisque j’habitais dans la paroisse. Un type qui était très connu pour une vie sociale à St-Gabriel, Monsieur Gérald Tellier, rédigeait les actualités de la place pour le journal de la région. Il était alors le correspondant local pour le média Joliette Journal. Il écrivait les nouvelles des deux conseils municipaux, la ville et la paroisse. Il publiait aussi les activités des associations, les décès, les naissances et autres. Dans le temps, il travaillait à St-Gabriel, mais il lui fut offert un poste de travail à Joliette. N’étant plus dans la place, ou n’ayant pas assez de temps pour assister aux assemblées, à cause du déplacement, il proposa à la direction du Joliette Journal que ce soit moi, Robert Grandchamp, qui le remplace comme correspondant de la place, vu que j’assistais déjà régulièrement aux assemblées des deux conseils municipaux. Devenu le correspondant local: Un journaliste du Joliette Journal est venu me rencontrer, m’explique quoi faire, et j’ai commencé comme ça. Tout écrit à la dactylo, et je devais aller les porter à Joliette, 35 km de chez moi, avant le mardi matin 10 :00 heure. J’avais mon épicerie, un dépanneur à plutôt dire. Les organisateurs des activités m’apportaient au dépanneur les communiqués, les informations des événements organisés, à faire connaître, pour avoir plus d’assistance. En venant porter, ces informations, ces organisateurs devenaient familiers avec mon commerce, devenaient donc des clients. Puisque je leur rendais le service de parler d’eux dans mes rédactions, en publiant gratuitement leurs activités, j’avais des retombés de leur présence, et de leurs activités. Même j’ai commencé à leur faire un prix pour leur fournir certains produits (bière, croustille, liqueur). Ça faisait marcher mon dépanneur par le fait même, et je me faisais connaître de mois en mois. J’ai été correspondant pour le journal, environ 30 … 35 mois. Et j’ai laissé le poste à une madame qui avait beaucoup plus de temps que moi. J’ai toujours été adepte de publier les activités quand j’étais dans une association, ou que j’assistais aux activités des autres associations. J’étais toujours nommé le publiciste, de chacune des associations que j’étais membre. Suggéré par A. N du journal de la région: Plusieurs années plus tard … lorsque l'internet a été rendu dans la région, j’ai proposé à la direction du Joliette Journal de mettre sur le en ligne toutes les activités de toutes les localités de la région Lanaudière. On m’a répondu qu’il manquait d’espace pour toutes les publier dans le journal et que l’internet n’était pas pour eux, leur gros revenu de publicité. Un dirigeant du journal local m’a proposé d’en faire un moi-même, car il trouvait mon idée fameuse. J’étais devenu camionneur, donc pas le temps de faire cela. Cette idée depuis décembre 2014 de publier des activités: Vers le mois de septembre ou octobre 2014, j’ai vu que le web … acceptait de faire de suffixes autres que point-com, ou point .ca ou point .org. Pour le Québec … point quebec. J’étais couché dans la nuit vers le 28 novembre 2014, alors que j’étais réveillé … l’idée m’est revenue d’en partir un moi-même, un site pour publier les activités. Dans ce moment de réflexion, j’avais même pensé le nom du site. Le lundi j’ai fait recherche pour agenda.quebec … mais ce nom avait été acheté par un utilisateur en dehors du Québec. J’ai décidé de prendre le chiffre UN (1) et agenda.quebec, pour faire 1agenda.quebec, mais je n’aimais pas l’affichage. J’ai donc décidé et j’ai réservé avec un L « Lagenda.quebec ». J’ai rencontré des concepteurs de site, et j’ai fait faire la plate-forme. Des obstacles j’en ai rencontré. D’abord c’était pour publier les activités de toutes les associations de toutes les régions du Québec. On a prévu commencer d’abord par publier des assemblées mensuelles des certains conseils municipaux dans le Québec. Les recherches se sont faites sur tous les sites internet de toutes les municipalités ayant un site internet. Achats coûteux et inutiles: Pour rejoindre le plus de gens, j’ai acheté des adresses courriel. J’ai eu des personnes qui se sont offertes à recueillir des adresses courriel sur ces sites des municipalités du Québec. Je leur demandais de ramasser les adresses des dirigeants de toutes les municipalités du Québec. Nous avons ramassé 26,000 adresses courriel. Il y a 1110 municipalités dans le Québec. Certains sites contenaient une trentaine d’adresses et parfois plus. J'en ai acheté pour un peu plus que $6,000. Avant juillet 2017 on pouvait envoyer des courriels, moyennant que l’on ait le truc pour se désabonner dans chaque courriel envoyé. Avec la loi antipourriel, C28 … nous devons avoir le consentement pour envoyer du courriel. Donc ces 25,000 adresses n’ont plus de valeur. Je dis 25,000, car il y en a des adresses qui n’étaient pas bonnes. Deuxième échec: Nous avions pensé mettre en ligne des événements de toutes sortes, et de vendre des publicités à des compagnies, comme McDonald ou Métro, Subway … et autres. Nous avons eu comme réponse que leurs budgets de publicité étaient selon chaque succursale, chaque localité. Nous avons donc refait la plate-forme pour publier les événements dans une page, et une autre page pour publier des annonces classées. Le fait d’avoir deux publications à faire … l’activité et l’annonce classée, le travail devenait un peu plus complexe. Du travail à refaire: J’ai fait des pages et des pages d’informations, d’instructions. Mon concepteur du site a décidé que c’était trop de pages … donc il a refait la conception du site d’une autre manière. Tout ce travail, les licences que j’ai eu à acheter … et l’administration a fait que j’ai dépensées énormément. Vers le mois de mai 2017 … Retourner comme camionneur: J’ai décidé de prendre un temps pour me ressourcer et pour retourner sur le marché du travail pour pouvoir financer la suite de ce projet que je tenais, que je tiens à cœur. J’ai arrêté de travailler sur le site en avril 2017 … j’ai déménagé de Montréal vers Joliette, j’ai été travaillé sur les camions pour une compagnie de Val-D’Or, et ensuite pour une compagnie de Lanaudière. J’avais fait faire des recherches d’adresse et certaines tenues de livres par des membres, que j’ai été capable de payer en ayant eu des recettes de mon travail comme camionneur. Je ne voulais pas devoir d’argent à ceux qui m’avaient rendu des services. Une absence d’environ 11 mois de mon site. Parfois j’y faisais des retouches, mais pas à plein temps, je veux dire. J’ai recommencé à travailler sur mon site vers décembre 2017. Formation en deux volets: J’ai refait les pages d’informations. Pour rendre ces pages d’informations plus actives, j’ai fait des questionnaires … en moyenne d’environ une question par page de ces informations. Lorsque j’ai terminé de faire ces questionnaires pour former les travailleurs, j’ai été informé d’un autre truc de présenter ces questionnaires, que j’ai aussi utilisés. Donc je n’ai pas de dette envers personne … j’ai payé ceux qui avaient fait des recherches pour moi, sauf un qui m’a proposé de lui remettre plus tard l’argent que je lui dois, quand le site sera en fonction. L'objectif du site: L’Agenda du Québec est un site pour publier les activités de partout dans le Québec, dans le but de donner de l’ouvrage à le plus de gens possible. Tous ces travailleurs seront des travailleurs autonomes. C’est-à-dire, ils ne travailleront pas comme salarié, mais travailleront avec le concept, avec L’Agenda du Québec. On sait que plusieurs personnes désirent travailler. Certaines personnes à cause de problème de santé, ou d’avoir à rester à la maison pour prendre soin d’un enfant, d’un parent, ou d’autres raisons ne leur rend pas facile le retour sur le marché du travail, j’ai bien confiance que ce concept, va permettre à plusieurs personnes de développer leurs aptitudes, leurs talents pour finalement aider, même pour subvenir à leurs besoins financiers. Il y a deux tâches à faire. Faire des ventes d’annonces classées aux maisons, et secrétaire ... Du travail du domicile, sur l’ordinateur. Des obstacles: J’ai eu des reprises à faire, des obstacles, et j’ai tellement confiance que je ne lâche pas ce projet. Combien de projets ont des obstacles lors de démarrages, et je compose avec cela moi aussi. J’avais invité des gens à faire des expériences, à mettre des publications d’événements sur le site, sans leur donner de limite. Il y en a qui en ont mis parfois plus de 1000 par jour, tellement ils trouvaient cela facile et agréable. Ils avaient confiance eux aussi au projet et n’hésitaient pas à y collaborer. Je leur avais dit que je regardais pour vendre des publicités pour couvrir le temps de leur travail, et qu’eux aussi devaient contacter des commerces pour leur vendre le travail qu’ils faisaient. Mais la plupart ont juste publiés des activités sans tenter de vendre des commanditaires, croyant que je pouvais en trouver pour tout le Québec, pour toutes ces publications de mis en ligne. Je n’ai pas renié leur travail, je leur ai donné des crédits pour le nombre de publications qu’ils ont mis en ligne. Ces crédits ils les ont dans leur banque de crédit, ils pourront les vendre quand le concept de vendre des annonces classées sera en démarrer. J’ai fait un échec de la première façon j’ai pensé rendre le site payant, le travail des mises en ligne d’événements … être facile et payant pour le travailleur. Et d’autres procédures qui n’ont pas abouti à un résultat attendu. Enfin la méthode: Mais cette dernière méthode dont j’ai planifié, c.-à-d. de publier une activité et de vendre une annonce classée reliée à la publication de l’activité, que ce sera réalisable. C’est un concept pour permettre de gagner un revenu, et ce même concept est idéal pour faire des campagnes de financement, des levées de fond. En ayant un projet de ce genre, et les travailleurs autonomes, et les groupements travaillant avec ce site seront valorisés de semaine en semaine en développant leurs aptitudes, leurs connaissances, leurs initiatives et surtout leurs talents. J’admets que ce n’est pas facile démarrer un tel projet, étant donné l’ampleur, la diversité des idées, mais la confiance est ce qui me motive toujours. Je veux donner la chance à des gens de toutes situations de pouvoir faire un travail, pour faire un revenu, un salaire, ou d’autres pour faire des levées de fond, des campagnes de financement pour une cause qu’ils ont à cœur. Campagne de financement: Au lieu de vendre des chocolats, ou des articles, ce seront des annonces classées qui seront l’objet des ventes. Cela va permettre à des étudiants, des personnes à s’épanouir, à travailler avec l’informatique plutôt que juste naviguer comme divertissement. Les utilisateurs vont naviguer sur le site L’Agenda du Québec, pour rechercher, pour trouver un objet, un service, un logement, et d'autres raisons. Si je n’ai pas encore créé d’emploi à date, c’est-à-dire, fait que des gens commencent à gagner un revenu, je suis conscient que ce n’est pas par manque de volonté, mais c’est que j’ai tellement retardé à rendre disponible pour différentes causes comme mentionnées dans ces pages. J’ai confiance donc je ne démissionne pas de mon idéal, de mon objectif, d’être en mesure de donner de l’ouvrage de permettre à des gens de gagner un revenu en travaillant avec L’Agenda du Québec. Vente à niveaux multiples … via ventes pyramidales: Selon ce que j’ai consulté sur le site du bureau de concurrence, le type de travail que j’ai est bel et bien du travail à niveaux multiples, et non des ventes pyramidales. Chaque travailleur va faire au moins 10 fois plus de revenus que j’en ferai. J’avoue que c’est pour faire de l’argent que je travaille ce concept, mais en permettant à ceux qui travailleront avec ce concept d’en faire beaucoup plus que moi. Comme vous pouvez le constater dans plus haut dans ce communiqué, nous avons refait la plate-forme plusieurs fois. Je dis refait, mais parfois c’était juste des grands changements que l’on a refaits, et non tout l’ensemble du site. Parmi ces modifications, je crois que j’ai oublié de refaire des pages, dont j’avais déjà eu dans mes versions précédentes. Les postes sont nommés par niveau UN, niveau DEUX, niveau TROIS, niveau QUATRE. J’aurais pu dire grade, rôle, siège, mais j’ai utilisé le mot niveau. Le nombre de représentants … par niveaux En résumé niveau et développement: Pourquoi 24 et 50 Vous comprendrez que le grade, le niveau est pour récompenser ceux et celles qui vont participer au développement du site dans leurs localités. Supposons, qu’après disons un an, alors que les localités auront été développées, de peine et misères, le nouveau qui décide de travailler avec ce concept, il ne serait pas juste qu’il y a autant de profit que ceux et celles qui auront contribué au développement du site. C’est pourquoi, les niveaux supérieurs UN ou DEUX peuvent vendre aux niveaux TROIS, ou QUATRE, en ayant des retombés sur chacune de leurs ventes. Les défricheurs, développeurs, auront des équipes et des sous-équipes par le fait même. Nous débutons … re débutons à vrai dire, donc il faut que j’aie des équipes de ce genre pour décoller l’affaire à travers toute la province. Je veux réussir, en arriver à créer des emplois, Ce projet me tient à cœur. |